Par Pierrette Lapèze:
Tout a commencé le 6 avril 2007 avec une réunion d’information à la Mairie de Billère conduite par le CIVAM Béarn. Annonce dans la presse, sur le site Internet de la Mairie. La Mairie nous a prêté sa salle des mariages. Cela faisait très sérieux et nous nous sommes assis bien sagement ! 35 personnes environ, se connaissant ou pas mais ayant déjà entendu parler des AMAP et étant intéressées par la création d’une AMAP sur Billère. Le CIVAM, et plus précisément Frank Meymerit et Perrine Maynadier, ont défini en quoi consistait une Amap. Daniel Martin-Roche et Catherine Toulet ont parlé de leur expérience respective sur Jurançon et Lescar. Le CIVAM avait approché la Mairie de Billère depuis quelques temps déjà pour avoir son aval et en vue de convenir d’un lieu public de distribution..
L’initiative de la création de l’AMAP de Billère revient également à Jean-Jacques Pinoteau, jusque-là adhérent à l’AMAP de Jurançon mais habitant Billère. Il a expliqué quel était son projet et fait appel aux volontaires pour se lancer avec lui. .
Ont suivi une série de questions-réponses, puis est venu le moment pour chaque participant de déterminer s’il était partant.
Les médias locaux, à vrai dire le Journal Sud-Ouest, ont rendu compte de cette réunion : PJ « Article SO 20.04.07 ».
10 et 24 avril 2007
La première action décidée par le petit groupe constitué lors de la réunion à la mairie a été de se rendre à la distribution de Jurançon le mardi suivant et à celle de Lescar 15 jours plus tard pour se rendre compte de l’organisation.
28 avril 2007
Première réunion de l’AMAP chez Jean-Jacques Pinoteau. 9 participants en comptant Daniel Martin-Roche de Jurançon qui nous a éclairé sur la marche à suivre et les démarches à entreprendre. L’ordre du jour était chargé mais nous étions motivés !
Par la suite, nous nous sommes réparti les visites à divers producteurs : fromage, volailles, oeufs, légumes…, avons débattu et fait des choix. Nous avons rédigé (copié sur Jurançon, oui !) le livret d’accueil, les contrats, etc.
Jean-Jacques a mis aussi pas mal d’énergie dans les négociations avec la mairie quant au lieu de distribution. Il paraît qu’il fait toujours beau les jours de distribution mais il est quand même plus prudent de prévoir un abri.